"Formications", de Julien Péluchon, Seuil, 2006

26 Décembre 2006

Un vieil homme a prédit à John lorsqu'il avait 18 ans, qu'il ne dépasserait pas ses 30 ans. Deux choses hantent alors le jeune homme qui après son bac deviendra rapidement acteur dans un téléfilm : cette mort qui approche et je cite : "baiser la fabuleuse Labies Mondor, la plus belle fille du lycée" qu'il retrouvera sur le tournage...

Ce qui me reste de ce premier roman ? La vulgarité gratuite qui en ressort et l'ennui qu'il m'a procuré.

Disponible en magasin...

Tag(s) : #J'aurais pas dû lire....

"L'infortunée", de Wesley Stace, Flammarion, 2006

"Les soldats de Salamine", de Javier Cercas, Actes Sud, 2001 (es), 2002 (fr)

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Exocet

30/11/2009 22:06

Laissez tomber, je le connais maintenant le Roger, il pourrit tous les blogs où il passe en crachant son venin. Un grand frustré sans doutes...

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Laurent

16/03/2007 11:40

@ Cathe : Merci pour ce soutien Cathe, je trouvais délicat de parler en votre nom ! Par contre, pense à renouveler ta cotisation quand même ;-)))))))

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cathe

14/03/2007 19:15

Je suis un des éléments de ton "club de femmes" et je vois que tes critiques amènent des commentaires bien fournis ! Que ton interlocuteur se rassure, on lit d'autres critiques et d'autres blogs que le tien et on est assez grandes pour se faire une opinion personnelle. Mais comme on te connait et qu'on t'apprécie, on est quand même bien contentes que tu nous donnes ton avis sur les livres que tu lis :-))))

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rogercavayes

12/03/2007 21:24

Je ne manquerais pas d'essayer de faire intervenir l'auteur qui pourra certainement t'éclairer mieux que moi sur la vulgarité utilisée (à bon ou mauvais escient, c'est selon) dans ce roman, ainsi que sur d'autres points qui ont permis l'écriture de ce roman.

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Laurent

12/03/2007 19:12

Et bien voilà... Tu as presque réussi à écrire un commentaire normal. C'est bien. Mais tu peux mieux faire encore... Le coté raelien était encore un peu fort, pour toi l'expert du second degré. Mais passons... Là n'est plus le sujet Rassure toi tout de même, les quelques personnes qui viennent sur ce blog sont assez grandes pour ce faire une idée seule, puisque beaucoup ont leur propre espace pour s'exprimer et je ne pense pas avoir autant d'influence que tu sembles m'en prêter (et je t'en remercie). Ensuite, je n'ai absolument pas remis en cause la cohérence de tes propos. Bien au contraire, le fond mariait parfaitement à la forme. Sur la cohérence des miens en revanche, une petite explication semble s'imposer : je me suis ennuyé en lisant ce livre et ça toutes les critiques du monde n'y pourront rien. Donc mon opinion ne changera pas. En revanche, sur l'éventuelle vulgarité qui n'apporte rien à mon goût, et seulement sur ce thème là nous pouvons en débattre, de manière constructive (j'ai lu ce roman il y a déjà plusieurs mois et j'avoue ne m'en souvenir qu'à moitié, mais je pourrai toujours m'y replonger). Tu soulèves cependant un point essentiel. Je me suis posé la question de savoir si je ne devais pas parler des livres qui m’avaient déplu, me protégeant ainsi de toutes agressions de ce genre mais surtout risquant de blesser certains auteurs qui pourraient se promener parmi nous. J'ai pris la décision, puisque je suis sur un blog et que je NE SUIS PAS critique littéraire, de parler des livres comme je les ai reçu, avec les maladresses de rigueur. Qu'ils m'aient plu ou non. Sachant que je fais tout pour ne pas rester dans les préjugés je lis toujours plusieurs ouvrages des auteurs de livres qui m'ont déplu, notamment quand les critiques sont positives... Je veux comprendre pourquoi je ne suis pas rentré dans ce titre, contrairement à d'autres. Il m'arrive d'ailleurs d'écrire un article et quelques semaines après de revenir dessus. C'est sans doute cela la différence avec un critique littéraire. Je n'écris ici que ce que je pense, sans analyse littéraire (je n'en ai pas la prétention). Et si un auteur passe par là, il peut voir un avis de lecteur à l’état brut. Si je n'apprécie pas un livre, je ne remets pas en cause sa qualité littéraire et SURTOUT je ne juge aucunement l'auteur en tant qu'homme/femme. Bibliothécaire de profession, je respecte très sincèrement le travail des auteurs. Ce qui fait que ce blog n'est pas un outil professionnel. C'est en tant que lecteur que j'interviens, et non en tant que bibliothécaire. D'ailleurs, à plusieurs reprises déjà certains blogueurs n'ont pas partagé mon avis. Et je ne m'en offusque pas. C'est le principe de liberté d'expression et c’est cela justement qui fait avancer le débat, me semble-t-il. En outre, ce sont en général les livres que nous n'apprécions pas qui font le plus parler d'eux... Je suis certain que grâce à ton intervention certains vont aller le lire pour se faire leur propre opinion. Pour le débat constructif que tu proposes sache que je t'ouvre cette espace si tu le souhaites. En toute correction bien entendu. Je peux même te rassurer, puisque j'ai acheté ce livre en deux exemplaires dans la bibliothèque où je travaille et dans ma bibliothèque personnelle... Voilà donc deux ventes et ma contribution pour lire un deuxième roman de ton proche auteur. Enfin, rassure toi, mon audience est beaucoup moins grande que les critiques que tu as présentées plus haut... Et je ne pense pas avoir fait beaucoup de tort à Julien Péluchon. A bon lecteur courtois, Laurent

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