A 36 ans, Fabien est perdu. Licencié, il quitte sa copine et décide de retourner un temps chez ses parents… Histoire de remettre les pieds sur terre, de se retrouver face à lui-même, de se reconstruire à partir des racines de l’enfance. Il retourne donc sur ses lieux de mémoires, où il s’est bâti comme homme. Seulement en repassant dans cette forêt, terrain de toutes les batailles imaginaires de ses 10 ans, un nouveau combat va s’ouvrir entre réalité, actes manqués et souvenirs… 

 Damien Marie pour le scénario et Damien Vanders pour les dessins noir et blancs, décident d’aborder ces moments de la vie où tout s’écroule et avec lesquels il faut composer pour se (re)construire. Ils nous portent dans un monde proche de la quatrième dimension, où le lecteur perd pied et se laisse déborder par l’imaginaire et le fantastique. Pas très loin du conte initiatique, « Parce que le paradis n’existe pas » s’attarde sur les drames causés par l’absence et les regrets.

Le roman de l’histoire est publié en fin d’ouvrage et illustré par les photos très joliments composées de Vanders… En noir et blanc bien entendu…

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